Les créanciers du groupe, qui sont aussi désormais ses principaux actionnaires, exigent de rapatrier dividendes et profits en Hollande pour payer moins d’impôts. Plutôt malvenu, alors que l’Etat français négocie encore le rachat d’activités jugées stratégiques ! source
Atos et sa restructuration financière
toujours exsangue, le groupe informatique décale, une nouvelle fois, au début de la semaine du 10 juin, le choix de son repreneur financier entre les offres présentées par David Layani et par Daniel Kretinsky. source